De l’académique

Bien qu’encore marginal à ce jour, le développement technologique et scientifique du royaume d’Ébène est sous la responsabilité des diverses académies nationales. Les érudits ébénois s’entendent pour affirmer que le Sang’Noir entraîna la perte d’une quantité incommensurable d’écrits et de théories issus de l’Avant. Pendant plus de deux siècles, notre peuple a erré dans ses pratiques, peinant à se remémorer les héritages de ses ancêtres. Ce n’est que récemment que nos savants ont décidé de coordonner leurs recherches afin d’améliorer le sort des humbles habitants de l’Ébène. Archives, séminaires et académies ouvrirent donc leurs portes et accueillirent les sages en quête de réponses.

Si n’importe quel homme d’influence peut décider -s’il en possède les moyens- de construire des archives ou un séminaire sur ses domaines, la formation d’académies exige de son côté la promulgation d’un édit princier. Bien sûr, les seigneurs-palatins peuvent encourager et financer les initiatives des chercheurs sur leurs terres, mais seul le prince siégeant sur le trône d’Yr peut décider de la formation d’une nouvelle académie ébénoise. Par conséquent, le titre de maître académicien -la plus prestigieuse nomination académique du royaume- n’est réservé qu’à une poignée de spécialistes ayant réussi à se démarquer autant par leur érudition fabuleuse que par leurs prouesses politiques. En l’an 322 de l’ère royale, trois académies rayonnent par leur puissance : l’Académie Fulcieu, l’Académie Rozella et l’Académie du Zanaïr.

Grandeur Nature l'Enclave

L’Académie Rozella

Grandeur Nature l'Enclave

L’Académie de Fulcieu

Grandeur Nature l'Enclave

L’Académie du Zanaïr

Grandeur Nature l'Enclave